Aurélien Braguier donne ses conseils pour réussir un dîner en amoureux à la maison.

Envie de dévoiler des secrets pour un dîner romantique parfait ?

Aurélien Braguier, chef de cuisine du restaurant Truffière à Paris donne ses conseils pour réussir un dîner en amoureux à la maison.

Présentez-vous.

J’ai 33 ans et déjà 19 ans de métier. J'ai été chef exécutif chez Jean-Luc Rabanel à Arles dans son restaurant doublement étoilé, L’Atelier. Je suis passionné par une cuisine créative et je suis ravi d'avoir la possibilité de travailler au restaurant Truffière ou je peux faire ma cuisine. L’avantage que j’ai, c’est que peu de chefs à Paris travaillent la cuisine du Sud avec des fleurs et des herbes. J’essaye de me démarquer par rapport à ça. Le restaurant ayant perdu sa seule étoile en 2017, je suis sur le pied de guerre pour la reconquérir !

Il y a beaucoup de travail, il faut se dépasser tous les jours, on n’a pas le droit à l’erreur. On change les cartes régulièrement et ce sont les clients qui font le reste. Mise en avant et respect du produit, des pousses, des fleurs, des herbes, ma cuisine est méridionale, fraîche et ultra goûteuse.

Comment êtes-vous tombé amoureux de la cuisine ?

Grâce à ma grand-mère et à ma mère qui sont les « meilleures » chefs du monde.

Comment définiriez-vous votre cuisine ? 

Une cuisine aux influences méditerranéennes, très végétale, car les legumes tiennent une part importante dans l'assiette.

Une gourmandise inavouable ?

Une tranche de pain toasté, du beurre demi-sel et des copeaux de truffes noires, tout simplement.

Vos secrets pour un dîner romantique parfait ?

Une belle table avec une belle vaisselle, des roses rouges, des bougies et du champagne. Le tout sur une musique de Whitney Houston, « I will always love you » !

Votre citation préférée ?

« Tout seul on va plus vite, ensemble on va plus loin. »

Cherchez les recettes du chef dans le livre de cuisine « Les Diners Romantiques de 15 Chefs de Paris » sur le site www.lacuisinesaine.com

Cette interview et vidéo préparée par Marina Bublik et Olga Bublik.